ExxonMobil participe à l’initiative Stanford Strategic Energy Alliance

IRVING, Texas — L’entreprise Exxon Mobil Corporation a annoncé aujourd’hui qu’elle sera le premier membre fondateur de la nouvelle Stanford Strategic Energy Alliance, une initiative qui cherchera des solutions visant à améliorer l’accès à l’énergie, la sécurité et la technologie, le tout en réduisant les impacts sur l’environnement. Dans le cadre de son engagement, ExxonMobil investira 20 millions de dollars, sur une période de 5 ans, dans la recherche et la mise au point de solutions énergétiques à faibles émissions de carbone.
  • S’appuie sur les 15 ans de réussite du Global Climate and Energy Project (projet en matière de climat et d’énergie à l’échelon planétaire, GCEP)
  • Recherches scientifiques et exploratoires solides dans le but de mettre au point des solutions énergétiques à faibles émissions de carbone
  • Enveloppe de 20 millions de dollars en plus de l’investissement de plus de 100 millions de dollars d’ExxonMobil pour le projet GCEP
  • Étend la collaboration entre l’entreprise et les établissements d’enseignement et de recherche du monde entier

L’initiative Stanford Strategic Energy Alliance s’appuie sur la réussite du Global Climate and Energy Project (GCEP), projet également dirigé par Stanford et qui se concentrait exclusivement sur les techniques énergétiques à faibles émissions et à haut rendement. ExxonMobil parraine le GCEP depuis son lancement en 2002 avec une enveloppe de 100 millions de dollars, ainsi que d’autres subventions destinées à des projets spécifiques. Sur ces 15 années de travail, le GCEP s’est transformé en une collaboration inédite entre scientifiques, ingénieurs, chercheurs et étudiants se concentrant sur l’identification de technologies énergétiques à faibles émissions de gaz à effet de serre révolutionnaires, susceptibles d’être développées et déployées à grande échelle. Dans ce contexte, nous coopérons avec, entre autres, le Centre de recherche énergétique des Pays-Bas (ECN) et TU Delft.

« Au cours des 15 dernières années, ExxonMobil a travaillé avec Stanford sur l’amélioration des technologies à faibles émissions de carbone, et nous sommes ravis d’être le premier membre fondateur de cette nouvelle initiative », déclare Bruce March, président de ExxonMobil Research and Engineering Company. « Une de nos missions centrales consiste à identifier des solutions évolutives relevant le double défi de l’approvisionnement en énergie de façon à satisfaire la demande mondiale, tout en réduisant les risques du changement climatique. Nous sommes constamment à la recherche de moyens d’améliorer les options d’approvisionnement et les procédés de fabrication existants, tout en gérant l’intensité en carbone. »

Depuis sa création, le GCEP a parrainé plus de 45 programmes de recherche aux États-Unis, en Europe, en Australie, en Chine et au Japon. Ces parrainages ont donné naissance à plus de 900 articles dans des journaux de renom et à plus de 1 200 présentations à l’occasion de diverses conférences. Grâce aux sciences fondamentales, des avancées considérables ont été faites dans les secteurs de l’énergie photovoltaïque, des combustibles fossiles renouvelables et à teneur en carbone plus faible, ainsi que des accumulateurs et des piles à combustible. Plus de 60 technologies ont été mises au point et 15 brevets ont été déposés. Plusieurs sociétés ont également vu le jour en conséquence directe de la recherche du GCEP, ou après s’en être inspiré.

La nouvelle Stanford Strategic Energy Alliance associera les membres de l’alliance de l’industrie et des professeurs de Stanford partageant des objectifs de recherche communs sur divers sujets en rapport avec l’énergie, qu’il s’agisse de science, d’ingénierie, de politique ou d’intérêts commerciaux. Gérée par le Stanford Precourt Institute for Energy, l’alliance financera également certains projets de recherche préliminaire sous la direction de l’administration de l’université. 

Le soutien dont fait preuve ExxonMobil à l’égard de la Stanford Strategic Energy Alliance étend la collaboration entre la société et les autres établissements d’enseignement et de recherche, qui se concentrent sur la mise au point d’une série de nouvelles technologies énergétiques, sur l’amélioration de l’efficacité énergétique et sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre. À l’heure actuelle, la société travaille avec environ 80 universités aux États-Unis, en Europe et en Asie dans l’optique de découvrir les technologies énergétiques de demain. Font également partie de cette initiative les membres fondateurs de la MIT Energy Initiative, du partenariat E-ffiliates de l’université de Princeton et de l’Energy Institute de l’université du Texas à Austin.